Mis en cause par l'ADPVAL, le département valaisan de la santé réagit
Mis en cause par « L'association de Défense des patients domiciliés en Valais », le Département de la santé réagit à son communiqué.

Mis en cause par « L'association de Défense des patients domiciliés en Valais », le Département de la santé réagit à son communiqué. L’ADPVAL y fait part de ses inquiétudes quant aux modalités du sondage demandé à l’Institut MIS Trend sur les motifs d’hospitalisations hors canton. La cause principale relève de la protection des données concernant les participants au sondage.
Des inquiétudes auxquelles le département estime avoir déjà répondu, notamment à travers deux courriers adressés, les 17 juin et 8 juillet, directement à Me Michel Ducrot, président de l’ADPVAL. Dans ses réponses, la cheffe du département Esther Waeber-Kalbermatten rappelle que « les personnes sollicitées devront d’emblée répondre par oui ou par non à la question de savoir si elles acceptent de participer à l’étude », précisant également que seuls les noms, prénoms et numéros de téléphone seront transmis pour l’étude en question, à l’exclusion de toute référence au diagnostic » (copie des courriers ci-dessous).
Esther Waeber-Kalbermatten s’étonne de la communication de l’ADPVAL « qui provoque une incertitude infondée chez les patients ».