Les chasseurs ne veulent plus des grands prédateurs en Valais
Les grands prédateurs n’ont pas leur place en Valais.

Les grands prédateurs n’ont pas leur place en Valais. C'est l’avis de la fédération des sociétés de chasse qui encourage ses membres à adhérer à l’association pour un territoire exempt de loup et d’ours.
Les chasseurs s’inquiètent encore pour la population de chamois du canton. Une population qui localement présente un fléchissement marqué.
La fédération va donc s’associer au service cantonal de la chasse pour identifier les causes de ces reculs locaux. Certaines sont déjà connues, comme les gènes occasionnées par la randonnée ou la prédation.
Enfin pour la régulation des cerfs, la fédération a décidé d’opter pour l’ouverture de nouveaux volets de tirs dans les réserves plutôt qu’une nouvelle chasse spéciale.
Il y deux ans, il avait fallu recourir à cette chasse spéciale pour atteindre les quotas. Une chasse qualifiée de boucherie jusque dans les travées du parlement cantonal et qui n’a pas convaincu.
Patrick Lavanchy, président de la Fédération valaisanne des sociétés de chasse qui tenait ses assises annuelles ce matin.
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