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LAT cantonale: Aqua Nostra brandit la menace de référendum
Loi cantonale sur l'aménagement du territoire: Aqua Nostra Valais met la pression avant la 2ème lecture prévue lors de la prochaine session du Parlement, en mars.

philippe-nantermod
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Loi cantonale sur l'aménagement du territoire: Aqua Nostra Valais met la pression avant la 2ème lecture prévue lors de la prochaine session du Parlement, en mars.
L'association annonce dans un communiqué qu'elle saisira le référendum si "les grands défauts du projet ne sont pas gommés". Un point est en particulier critiqué: la volonté de retirer au Grand Conseil la compétence d'adopter le plan directeur cantonal, pour la confier uniquement au Conseil d'Etat.
"Une perte de compétence dramatique", selon Philippe Nantermod, président d'Aqua Nostra Valais. D'autant que cet outil d'aménagement prend "de plus en plus d'importance", puisqu'il devra contenir "des dispositions de rang quasi-légal, notamment à propos des domaines skiables, des centres commerciaux, des installations de loisir ou sur la réduction des zones à bâtir".
Philippe Nantermod l'admet toutefois: "cette menace de référendum est évidemment un moyen de pression, mais si le Grand Conseil devait continuer sur la voie engagée en première lecture, nous sommes prêt à récolter 3'000 signatures et aller devant le peuple".
Une récolte de signatures à laquelle pourrait s'associer l'UDC. Le parti a annoncé ce jeudi son soutien à un éventuel référendum d'Aqua Nostra.
L'association annonce dans un communiqué qu'elle saisira le référendum si "les grands défauts du projet ne sont pas gommés". Un point est en particulier critiqué: la volonté de retirer au Grand Conseil la compétence d'adopter le plan directeur cantonal, pour la confier uniquement au Conseil d'Etat.
"Une perte de compétence dramatique", selon Philippe Nantermod, président d'Aqua Nostra Valais. D'autant que cet outil d'aménagement prend "de plus en plus d'importance", puisqu'il devra contenir "des dispositions de rang quasi-légal, notamment à propos des domaines skiables, des centres commerciaux, des installations de loisir ou sur la réduction des zones à bâtir".
Philippe Nantermod l'admet toutefois: "cette menace de référendum est évidemment un moyen de pression, mais si le Grand Conseil devait continuer sur la voie engagée en première lecture, nous sommes prêt à récolter 3'000 signatures et aller devant le peuple".
Une récolte de signatures à laquelle pourrait s'associer l'UDC. Le parti a annoncé ce jeudi son soutien à un éventuel référendum d'Aqua Nostra.
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