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Aérodrome de Sion: avalanche d'interventions au Grand Conseil
La fermeture de l'aérodrome de Sion prévue par l'armée a provoqué une avalanche d'interventions aujourd'hui au Grand Conseil.

avion
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La fermeture de l'aérodrome de Sion prévue par l'armée a provoqué une avalanche d'interventions aujourd'hui au Grand Conseil. Avec deux lignes de front: les députés qui veulent sauver ce qui peut encore l'être et ceux qui souhaitent préparer l'avenir sans jets militaires.
La fermeture de la base militaire envisagée par le DDPS, le département fédéral de la défense reste en travers de la gorge de nombreux députés, issus surtout des rangs de la droite. Ils attendent du Conseil d'Etat qu'il réunisse autour d'une table tous les acteurs concernés pour définir une ligne commune afin de sauver ce qui peut encore l'être d'ici la fin janvier, date butoir de la consultation menée par le DDPS.
Les interventions privilégiant une réflexion sur l'avenir de l'aéroport sans avions militaires n'ont reçu le soutien ni du gouvernement, ni du plénum, qui préfèrent "garder toutes les portes ouvertes" jusqu'à la fin de la consultation. Oskar Freysinger, chef du département de la sécurité, a assuré que le gouvernement "comprend les soucis" exprimés, mais veut "éviter d'agir en ordre dispersé. Nous explorerons toutes les pistes pour maintenir l'aérodrome de Sion et ferons tout pour infléchir certaines options choisies par le département fédéral", a-t-il souligné.
Les discussions ont été chaotiques et le traitement de la dizaine d'interventions plutôt confus. Nombre de questions soulevées sont restées sans réponse, le chef du département ayant décidé de les traiter globalement et sans entrer dans les détails.
La fermeture de la base militaire envisagée par le DDPS, le département fédéral de la défense reste en travers de la gorge de nombreux députés, issus surtout des rangs de la droite. Ils attendent du Conseil d'Etat qu'il réunisse autour d'une table tous les acteurs concernés pour définir une ligne commune afin de sauver ce qui peut encore l'être d'ici la fin janvier, date butoir de la consultation menée par le DDPS.
Les interventions privilégiant une réflexion sur l'avenir de l'aéroport sans avions militaires n'ont reçu le soutien ni du gouvernement, ni du plénum, qui préfèrent "garder toutes les portes ouvertes" jusqu'à la fin de la consultation. Oskar Freysinger, chef du département de la sécurité, a assuré que le gouvernement "comprend les soucis" exprimés, mais veut "éviter d'agir en ordre dispersé. Nous explorerons toutes les pistes pour maintenir l'aérodrome de Sion et ferons tout pour infléchir certaines options choisies par le département fédéral", a-t-il souligné.
Les discussions ont été chaotiques et le traitement de la dizaine d'interventions plutôt confus. Nombre de questions soulevées sont restées sans réponse, le chef du département ayant décidé de les traiter globalement et sans entrer dans les détails.
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