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Résidences secondaires: l'économie valaisanne à l'affût du futur texte
Pas question pour les milieux de l'économie valaisanne de baisser la garde à l'heure où le projet de loi sur les résidences secondaires (LRS) va passer dans les mains du parlement.

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Pas question pour les milieux de l'économie valaisanne de baisser la garde à l'heure où le projet de loi sur les résidences secondaires (LRS) va passer dans les mains du parlement.
Aux côtés de la section valaisanne de l'USPI, l'Union des professionnels de l'immobilier, la CVCI, la Chambre valaisanne de commerce et d'industrie a convié la presse ce matin pour faire part de son engagement auprès des parlementaires fédéraux. Pas question pour les deux organismes de baisser la garde et de laisser passer de nouvelles contraintes sur la propriété ou sur le développement de lits chauds.
Ensemble, ils comptent défendre le principe d'une gestion "contrôlée" de ces lits touristiques par les professionnels de l'immobilier.
"Nous gérons entre 80 et 90% de l'offre et sommes les mieux placés pour évaluer les besoins" estime Olivier Raemy. Le président de l'USPI-Valais revendique la reconnaissance des autorités pour poursuivre ces activités de gestion, également pour de nouveaux projets de résidences secondaires assortis de contrats pour l'hébergement touristique. Pour garantir cette reconnaissance, il compte notamment sur la formation "IMMOtourisme" lancée l'an passé" en Valais. Un cursus qui fait la part belle aux problématiques de vente et de gestion de logements de vacances en lien avec les nouvelles exigences légales (LAT, Lex Koller, Lex Weber et ses limitations de résidences secondaires).
Point d vue que partage la CVCI, qui ajoute une touche plus "libérale" nécessaire au futur texte : "le projet constitue encore une intrusion exagérée dans la sphère privée avec des sanctions disproportionnées (possibilité de peines privatives de liberté lors de contrevenants)" renchérit Vincent Riesen, directeur de la CVCI.
Leur message qui réclame des assouplissements sera prochainement adressé aux parlementaires fédéraux et devrait s'il est accepté, provoquer un référendum des initiants, Helvetia Nostra en tête. Vincent Riesen en est convaincu mais selon lui, ce référendum sera refusé par le peuple suisse "parce que toutes nos propositions restent dans les clous en respectant la volonté exprimée par le peuple", dit-il.
Aux côtés de la section valaisanne de l'USPI, l'Union des professionnels de l'immobilier, la CVCI, la Chambre valaisanne de commerce et d'industrie a convié la presse ce matin pour faire part de son engagement auprès des parlementaires fédéraux. Pas question pour les deux organismes de baisser la garde et de laisser passer de nouvelles contraintes sur la propriété ou sur le développement de lits chauds.
Ensemble, ils comptent défendre le principe d'une gestion "contrôlée" de ces lits touristiques par les professionnels de l'immobilier.
"Nous gérons entre 80 et 90% de l'offre et sommes les mieux placés pour évaluer les besoins" estime Olivier Raemy. Le président de l'USPI-Valais revendique la reconnaissance des autorités pour poursuivre ces activités de gestion, également pour de nouveaux projets de résidences secondaires assortis de contrats pour l'hébergement touristique. Pour garantir cette reconnaissance, il compte notamment sur la formation "IMMOtourisme" lancée l'an passé" en Valais. Un cursus qui fait la part belle aux problématiques de vente et de gestion de logements de vacances en lien avec les nouvelles exigences légales (LAT, Lex Koller, Lex Weber et ses limitations de résidences secondaires).
Point d vue que partage la CVCI, qui ajoute une touche plus "libérale" nécessaire au futur texte : "le projet constitue encore une intrusion exagérée dans la sphère privée avec des sanctions disproportionnées (possibilité de peines privatives de liberté lors de contrevenants)" renchérit Vincent Riesen, directeur de la CVCI.
Leur message qui réclame des assouplissements sera prochainement adressé aux parlementaires fédéraux et devrait s'il est accepté, provoquer un référendum des initiants, Helvetia Nostra en tête. Vincent Riesen en est convaincu mais selon lui, ce référendum sera refusé par le peuple suisse "parce que toutes nos propositions restent dans les clous en respectant la volonté exprimée par le peuple", dit-il.
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