Réactions en cascade à la suite de la démission de Jean-Marie Cleusix
La démission du chef du Service de l'enseignement, Jean-Marie Cleusix, ne laisse pas les politiciens de marbre.

La démission du chef du Service de l'enseignement, Jean-Marie Cleusix, ne laisse pas les politiciens de marbre. Nombre d'entre eux y vont de leurs commentaires sur les réseaux sociaux. Selon le député de l'Alliance de Gauche, Gaël Bourgeois, "l'école valaisanne pourra ainsi repartir sur de bons rails". Le député-suppléant PDC Xavier Fellay parle "d'une triste arrivée, d'un triste passage et d'un triste départ". L'élu PLR Stéphane Ganzer affirme avoir reçu de nombreuses "révélations fracassantes sur le personnage" le jour même de l'annonce de sa démission.
Au chapitre des communiqués officiels, celui du PLR. Le parti exprime son souci face à cette démission qui, je cite, "ne peut être que dommageable à trois semaines de la rentrée". Quant au Centre Gauche-PCS du Valais romand, il ne s'étonne que peu, estimant que la situation n'était plus tenable. Il juge que le plus urgent est désormais de rétablir la confiance entre le corps enseignant et le Département de la formation. Son ministre, Oskar Freysinger, a pour sa part déclaré sur nos ondes que les ulcères de Jean-Marie Cleusix provenaient des différentes pressions subies.
On rappelle que le chef du Service de l'enseignement, hospitalisé depuis jeudi, a démissionné officiellement hier pour des raisons de santé.