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Nouvel obstacle à la fusion TéléVeysonnaz-TéléNendaz
Les actionnaires de TéléNendaz ne se prononceront peut-être pas vendredi sur le projet de fusion avec TéléVeysonnaz.

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Les actionnaires de TéléNendaz ne se prononceront peut-être pas vendredi sur le projet de fusion avec TéléVeysonnaz.
L'un d'entre eux, le notaire Pierre Délèze, ancien administrateur de TéléNendaz, a en effet déposé aujourd'hui une demande de mesures superprovisionnelles auprès du tribunal d'Hérens-Conthey pour obtenir le report de cette assemblée générale extraordinaire.
Motif : tous les documents permettant de se forger une opinion n'auraient pas été transmis, notamment le compte de pertes et profits de TéléVeysonnaz.
Pierre Délèze dit agir au nom d'une "vingtaine de petits actionnaires" qui ne comprennent pas pourquoi il est "si difficile d'obtenir des réponses".
Le problème tourne en particulier autour de la valeur respective des deux sociétés de remontées mécaniques. "Le sentiment que nous avons c'est que l'on va prendre de l'argent chez TéléNendaz pour financer TéléVeysonnaz", résume Pierre Délèze, qui annonce déjà se réserver le droit d'attaquer dans les 60 jours l'éventuelle approbation de cette fusion en annulabilité.
L'un d'entre eux, le notaire Pierre Délèze, ancien administrateur de TéléNendaz, a en effet déposé aujourd'hui une demande de mesures superprovisionnelles auprès du tribunal d'Hérens-Conthey pour obtenir le report de cette assemblée générale extraordinaire.
Motif : tous les documents permettant de se forger une opinion n'auraient pas été transmis, notamment le compte de pertes et profits de TéléVeysonnaz.
Pierre Délèze dit agir au nom d'une "vingtaine de petits actionnaires" qui ne comprennent pas pourquoi il est "si difficile d'obtenir des réponses".
Le problème tourne en particulier autour de la valeur respective des deux sociétés de remontées mécaniques. "Le sentiment que nous avons c'est que l'on va prendre de l'argent chez TéléNendaz pour financer TéléVeysonnaz", résume Pierre Délèze, qui annonce déjà se réserver le droit d'attaquer dans les 60 jours l'éventuelle approbation de cette fusion en annulabilité.
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