Valais
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Michel Bonjean, nouveau président de la Fédération laitière valaisanne
Du changement à la tête de la Fédération laitière valaisanne.

Bonjean
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Du changement à la tête de la Fédération laitière valaisanne.
Après 16 années de comité dont les huit dernières à la présidence, Laurent Tornay, 61 ans, a passé le témoin aujourd'hui à Sierre à Michel Bonjean.
Agé de 57 ans, Michel Bonjean exploite un domaine de 40 hectares à Vouvry. Il détient une soixantaine de vaches. Membre du comité de la Fédération laitière valaisanne depuis l'an dernier, il est aussi président de l'association des producteurs de lait CREMO du Valais.
Des producteurs de lait dit "industriel" qui sont, justement, en pleine tourmente. C'est ce qui ressort de cette assemblée des délégués.
Le désormais ex-président, Laurent Tornay, a ainsi qualifié la situation d'extrêmement "précaire". Il faut dire que le lait d'industrie, destiné à faire de la crème, du beurre, des yoghourts ou conditionné en briques, se négocie aux alentours des 50 centimes le kilo, un prix identique à celui pratiqué au milieu des années '60. "Cela ne permet pas de couvrir les frais de production, ni de nourrir sa famille", s'alarme Laurent Tornay.
Après 16 années de comité dont les huit dernières à la présidence, Laurent Tornay, 61 ans, a passé le témoin aujourd'hui à Sierre à Michel Bonjean.
Agé de 57 ans, Michel Bonjean exploite un domaine de 40 hectares à Vouvry. Il détient une soixantaine de vaches. Membre du comité de la Fédération laitière valaisanne depuis l'an dernier, il est aussi président de l'association des producteurs de lait CREMO du Valais.
Des producteurs de lait dit "industriel" qui sont, justement, en pleine tourmente. C'est ce qui ressort de cette assemblée des délégués.
Le désormais ex-président, Laurent Tornay, a ainsi qualifié la situation d'extrêmement "précaire". Il faut dire que le lait d'industrie, destiné à faire de la crème, du beurre, des yoghourts ou conditionné en briques, se négocie aux alentours des 50 centimes le kilo, un prix identique à celui pratiqué au milieu des années '60. "Cela ne permet pas de couvrir les frais de production, ni de nourrir sa famille", s'alarme Laurent Tornay.
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