Valais
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Limitation des interventions au Parlement, la COGEST dit non
72 à 75 millions par an.

grandconseil
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72 à 75 millions par an. C'est le bol d'air que compte s'octroyer le Conseil d'Etat dans les futurs budgets, grâce à la première phase de l'examen des tâches et structures de l'Etat du Valais.
La moitié viendrait de réductions de dépenses. L'autre moitié à travers des augmentations de revenu.
Une partie de ces mesures envisagées font l'objet d'un projet de décret soumis au Grand Conseil avant que les modifications législatives nécessaires ne soient analysées.
Un projet de décret "globalement accepté" aujourd'hui par la commission de gestion du parlement (COGEST). Une commission qui s'est également penchée sur un projet de décision concernant la suspension de diverses interventions parlementaires et procédures législatives et constitutionnelles. Projet qui a déjà fait beaucoup parler de lui. D'aucuns y voyant un musèlement du Grand Conseil.
Sur les trois articles de ce projet de décret, deux sont envoyés aux oubliettes par la commission de gestion notamment celui concernant la suspension des interventions parlementaires jusqu'au 31 mars 2016. Il en ressort un projet totalement remanié.
"On n'a pas voulu bloquer ou reporter des décisions. On a demandé d'avoir des outils d'aide à la décision. Lorsqu'une intervention, soit une motion, soit un postulat, vient en traitement devant le Parlement, pour pouvoir décider en connaissance de cause il faut avoir l'impact financier. C'est ce que l'on demande au Gouvernement. Par ailleurs on propose que le Gouvernement tienne une liste des dépenses ou des manques de recettes induites par les interventions parlementaires depuis le début de la législature", explique Narcisse Crettenand, président de la commission de gestion.
La moitié viendrait de réductions de dépenses. L'autre moitié à travers des augmentations de revenu.
Une partie de ces mesures envisagées font l'objet d'un projet de décret soumis au Grand Conseil avant que les modifications législatives nécessaires ne soient analysées.
Un projet de décret "globalement accepté" aujourd'hui par la commission de gestion du parlement (COGEST). Une commission qui s'est également penchée sur un projet de décision concernant la suspension de diverses interventions parlementaires et procédures législatives et constitutionnelles. Projet qui a déjà fait beaucoup parler de lui. D'aucuns y voyant un musèlement du Grand Conseil.
Sur les trois articles de ce projet de décret, deux sont envoyés aux oubliettes par la commission de gestion notamment celui concernant la suspension des interventions parlementaires jusqu'au 31 mars 2016. Il en ressort un projet totalement remanié.
"On n'a pas voulu bloquer ou reporter des décisions. On a demandé d'avoir des outils d'aide à la décision. Lorsqu'une intervention, soit une motion, soit un postulat, vient en traitement devant le Parlement, pour pouvoir décider en connaissance de cause il faut avoir l'impact financier. C'est ce que l'on demande au Gouvernement. Par ailleurs on propose que le Gouvernement tienne une liste des dépenses ou des manques de recettes induites par les interventions parlementaires depuis le début de la législature", explique Narcisse Crettenand, président de la commission de gestion.
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