Valais
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Légume emblématique du Valais, l'asperge fait déjà son retour
1500 à 2000 kilos.
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1500 à 2000 kilos. C'est l'estimation du volume de "turions" sortis cette semaine des buttes "aspergières" du canton, essentiellement entre Sierre et Fully.
Comme à l'accoutumée, la blanche valaisanne fait course en tête avec quelques 40 jours d'avance sur la production suisse, explique Maurice Dussex (interview ci-dessous), producteur à Saillon, devenue "cité de l'asperge" depuis 2005, fief de la moitié des asperges du canton .
La variété du Vieux-Pays doit sa précocité à la météo mais aussi et surtout aux cultures sous abris, avec des buttes recouvertes d'un paillage noir garantissant à la fois qualité et blancheur, explique le service cantonal de l'agriculture. Durant le printemps ? et en tenant compte aussi de la "verte" ? près de 420 tonnes seront cueillies.
La production progresse au fur et à mesure que les surfaces progressent puisque désormais, le Valais frise les 60 hectares qui lui sont dédiés. Il faut dire que l'asperge peut être rentable, pour autant que l'on puisse maintenir à la fois, qualité et livraison rapide, assortis du maintien des marchés "niches". D'où une coordination souhaitée entre les quelques 40 producteurs du canton, du moins aux yeux d'Hubert Zufferey, directeur de l'Interprofession des fruits et légumes du Valais (interview ci-dessous).
Un projet d'AOP asperges du Valais est en gestation. Il est à bout touchant pour la finalisation du cahier des charges avant de pouvoir réunir tous les producteurs et les metteurs en marché pour aller de l'avant.
Comme à l'accoutumée, la blanche valaisanne fait course en tête avec quelques 40 jours d'avance sur la production suisse, explique Maurice Dussex (interview ci-dessous), producteur à Saillon, devenue "cité de l'asperge" depuis 2005, fief de la moitié des asperges du canton .
La variété du Vieux-Pays doit sa précocité à la météo mais aussi et surtout aux cultures sous abris, avec des buttes recouvertes d'un paillage noir garantissant à la fois qualité et blancheur, explique le service cantonal de l'agriculture. Durant le printemps ? et en tenant compte aussi de la "verte" ? près de 420 tonnes seront cueillies.
La production progresse au fur et à mesure que les surfaces progressent puisque désormais, le Valais frise les 60 hectares qui lui sont dédiés. Il faut dire que l'asperge peut être rentable, pour autant que l'on puisse maintenir à la fois, qualité et livraison rapide, assortis du maintien des marchés "niches". D'où une coordination souhaitée entre les quelques 40 producteurs du canton, du moins aux yeux d'Hubert Zufferey, directeur de l'Interprofession des fruits et légumes du Valais (interview ci-dessous).
Un projet d'AOP asperges du Valais est en gestation. Il est à bout touchant pour la finalisation du cahier des charges avant de pouvoir réunir tous les producteurs et les metteurs en marché pour aller de l'avant.
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