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Le CIO veut rassurer sur ses engagements pris dans le cadre de son Agenda 2020.
Christophe Dubi, directeur exécutif des Jeux olympiques au CIO, a convié les médias suisses à une table ronde ce matin pour rappeler la "nouvelle norme" créée par l'Agenda 2020 en matière de candidature et d'organisation des JO.
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Christophe Dubi, directeur exécutif des Jeux olympiques au CIO, a convié les médias suisses à une table ronde ce matin pour rappeler la "nouvelle norme" créée par l'Agenda 2020 en matière de candidature et d'organisation des JO.
"Nous avons changé de modèle et nous prenons désormais un engagement vis-à-vis de la société civile", a-t-il expliqué, insistant sur la notion d'"héritage" que sont censés laisser les Jeux à la ville et au pays qui les organisent.
"Le projet de Sion est pertinent du point de vue de l'Agenda du CIO, assure Christophe Dubi. Il s'appuie sur des infrastructures existantes." L'idée de base du CIO est d'encourager tous les candidats à aller dans ce sens et à ne pas construire à tout-va.
Le directeur exécutif des Jeux olympique a également confirmé que le CIO offrait désormais la possibilité aux candidats de répartir les responsabilités. Ainsi plusieurs signataires peuvent aujourd'hui figurer sur le contrat de la ville-hôte.
"Nous avons changé de modèle et nous prenons désormais un engagement vis-à-vis de la société civile", a-t-il expliqué, insistant sur la notion d'"héritage" que sont censés laisser les Jeux à la ville et au pays qui les organisent.
"Le projet de Sion est pertinent du point de vue de l'Agenda du CIO, assure Christophe Dubi. Il s'appuie sur des infrastructures existantes." L'idée de base du CIO est d'encourager tous les candidats à aller dans ce sens et à ne pas construire à tout-va.
Le directeur exécutif des Jeux olympique a également confirmé que le CIO offrait désormais la possibilité aux candidats de répartir les responsabilités. Ainsi plusieurs signataires peuvent aujourd'hui figurer sur le contrat de la ville-hôte.
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