Valais
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La sécurité militaire de Lavey envoyée à Payerne d'ici 2020
Le personnel de l'aérodrome militaire de Sion n'est pas le seul à voir son avenir se dessiner en pointillés.
Le personnel de l'aérodrome militaire de Sion n'est pas le seul à voir son avenir se dessiner en pointillés. La section de la sécurité militaire de Lavey devrait également à terme, on parle de 2020, être envoyée du côté de Payerne. Et cela concerne 25 militaires, dont 24 sont valaisans.
Mais rien n'est encore fait, le syndicat transfair, qui s'occupe notamment du personnel militaire, se bat pour que ces postes restent en Valais et éviter ainsi le déracinement social de ces personnes.
Et selon Olivier Hählen, responsable région ouest du syndicat, la logique voudrait que ces emplois restent dans notre canton.
"On parle de créer une école de recrue de police militaire à Sion, je pense qu'il est donc souhaitable d'avoir des professionnels, une section de police militaire en l'occurence, qui soit stationnée dans les environs plutôt que de les envoyer à Payerne ou je ne sais où", explique Olivier Hählen. Il ajoute qu'en tant "qu'employeur modèle, comme elle se définit si bien, la Confédération ne devrait pas avoir des postes de travail uniquement sur le plateau, mais aussi dans des régions un peu moins favorisées que d'autres".
La réponse définitive quant à l'avenir de ces postes de travail devrait tomber d'ici le mois de mai.
Mais rien n'est encore fait, le syndicat transfair, qui s'occupe notamment du personnel militaire, se bat pour que ces postes restent en Valais et éviter ainsi le déracinement social de ces personnes.
Et selon Olivier Hählen, responsable région ouest du syndicat, la logique voudrait que ces emplois restent dans notre canton.
"On parle de créer une école de recrue de police militaire à Sion, je pense qu'il est donc souhaitable d'avoir des professionnels, une section de police militaire en l'occurence, qui soit stationnée dans les environs plutôt que de les envoyer à Payerne ou je ne sais où", explique Olivier Hählen. Il ajoute qu'en tant "qu'employeur modèle, comme elle se définit si bien, la Confédération ne devrait pas avoir des postes de travail uniquement sur le plateau, mais aussi dans des régions un peu moins favorisées que d'autres".
La réponse définitive quant à l'avenir de ces postes de travail devrait tomber d'ici le mois de mai.
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