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L'auto-entreprise, une forme d'avenir pour le tertiaire selon la CVCI
Le nombre de créations d'entreprises a battu un record en Suisse en 2013.

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Le nombre de créations d'entreprises a battu un record en Suisse en 2013. Il s'est élevé à 12 mille 440. C'est 4.6% de plus qu'une année auparavant. En Valais, la hausse est même de 9.2% avec 416 nouvelles entreprises, selon les chiffres publiés à la fin juin par l'Office fédéral de la statistique.
La particularité de ces start-up, c'est qu'il s'agit de très petites structures qui occupent en moyenne 1.1 personne à plein temps et 0.7 salarié à temps partiel.
On se situe donc très souvent au niveau de l'auto-entreprise, c'est-à-dire la seule création de sa propre place de travail.
Un mouvement qui devrait s'amplifier selon le directeur de la Chambre Valaisanne de Commerce et d'Industrie (CVCI), même si les données 2014 ne sont pas encore disponibles.
Vincent Riesen constate en effet que cela devient "très, très difficile" pour les PME qui "doivent affronter beaucoup de réglementation sans avoir les avantages de productivité des grandes entreprises". Il prédit donc, d'ici 5 à 10 ans, une tendance à la bipolarisation de l'économie, en particulier dans le tertiaire. D'un côté, les géants qui auront racheté les entreprises de taille moyenne. Et de l'autres, des indépendants se réunissant "par grappes de spécialistes" autour de projets.
"Il y a dans l'auto-emploi une forme d'avenir pour la place économique" qu'il s'agit de soutenir, conclut Vincent Riesen.
La particularité de ces start-up, c'est qu'il s'agit de très petites structures qui occupent en moyenne 1.1 personne à plein temps et 0.7 salarié à temps partiel.
On se situe donc très souvent au niveau de l'auto-entreprise, c'est-à-dire la seule création de sa propre place de travail.
Un mouvement qui devrait s'amplifier selon le directeur de la Chambre Valaisanne de Commerce et d'Industrie (CVCI), même si les données 2014 ne sont pas encore disponibles.
Vincent Riesen constate en effet que cela devient "très, très difficile" pour les PME qui "doivent affronter beaucoup de réglementation sans avoir les avantages de productivité des grandes entreprises". Il prédit donc, d'ici 5 à 10 ans, une tendance à la bipolarisation de l'économie, en particulier dans le tertiaire. D'un côté, les géants qui auront racheté les entreprises de taille moyenne. Et de l'autres, des indépendants se réunissant "par grappes de spécialistes" autour de projets.
"Il y a dans l'auto-emploi une forme d'avenir pour la place économique" qu'il s'agit de soutenir, conclut Vincent Riesen.
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