Valais
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Grand Conseil: motion pour plus de transparence des députés
Des députés verts, socialistes et PLR unis pour réclamer une plus grande transparence des parlementaires valaisans.
![grand-conseil](/media/image/2/mini_3_2/grand-conseil-1-3.jpg?8a13a58ecf4029ceadd6c72e328f7982 320w,/media/image/2/normal_3_2/grand-conseil-1-3.jpg?8a13a58ecf4029ceadd6c72e328f7982 1080w)
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Des députés verts, socialistes et PLR unis pour réclamer une plus grande transparence des parlementaires valaisans.
Dans une motion qui sera soumise au Grand Conseil le vendredi 13 mars prochain, le Vert Christophe Clivaz, le socialiste Gaël Bourgeois et le libéral-radical Narcisse Crettenand demandent que tous les députés annoncent à leur entrée en fonction les conditions fixées par leur employeur pour qu?ils puissent siéger. En d?autres termes, est-ce qu?ils peuvent le faire sur leur temps de travail, sur leurs vacances ou avec une solution mixte et est-ce que les jetons de présence doivent être remboursés ou non.
Dans leur texte, les trois co-signataires disent déplorer les remises en cause répétées que subissent les enseignants qui siègent au Parlement (ils représentent 9% des élus durant la législature en cours, contre 15% durant la précédente), accusés «de bénéficier d?un double salaire et de conditions plus favorables que leurs collègues du secteur privé».
Dans une motion qui sera soumise au Grand Conseil le vendredi 13 mars prochain, le Vert Christophe Clivaz, le socialiste Gaël Bourgeois et le libéral-radical Narcisse Crettenand demandent que tous les députés annoncent à leur entrée en fonction les conditions fixées par leur employeur pour qu?ils puissent siéger. En d?autres termes, est-ce qu?ils peuvent le faire sur leur temps de travail, sur leurs vacances ou avec une solution mixte et est-ce que les jetons de présence doivent être remboursés ou non.
Dans leur texte, les trois co-signataires disent déplorer les remises en cause répétées que subissent les enseignants qui siègent au Parlement (ils représentent 9% des élus durant la législature en cours, contre 15% durant la précédente), accusés «de bénéficier d?un double salaire et de conditions plus favorables que leurs collègues du secteur privé».
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