Valais
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Covid-19 : pas de dénonciation de fraude à la RHT jusqu'ici en Valais
RHT Covid-19
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Les entreprises valaisannes jouent très honnêtement et de manière responsable le jeu du chômage partiel.
Les syndicats n'ont connaissance que de quelques cas marginaux d'abus. Quant à la caisse cantonale de chômage, elle n'a enregistré aucune dénonciation de personne ou de société.
Attention toutefois à un éventuel "effet retard", avertit le directeur de la caisse cantonale, Jean-Claude Frésard. Car le SECO effectuera des contrôles dans les cinq ans à venir. Les prestations RHT qui auraient été perçues indûment seront à rembourser.
Quant au traitement des demandes "RHT-Covid", il a propulsé la caisse cantonale de chômage dans un autre monde. L'an dernier, les deux spécialistes qui s'occupaient des entreprises ont examiné au total 13 dossiers pour un montant d'environ 600 mille francs. Aujourd'hui, pour les seuls mois de mars et d'avril, une quinzaine de personnes ont traité des milliers de dossiers pour 123 millions de francs.
"C'est une totale folie", commente Jean-Claude Frésard, "nous avons dû travailler le samedi, le soir, nous avons tout mis en ?uvre pour essayer de régler les entreprises le plus rapidement possible".
Les syndicats n'ont connaissance que de quelques cas marginaux d'abus. Quant à la caisse cantonale de chômage, elle n'a enregistré aucune dénonciation de personne ou de société.
Attention toutefois à un éventuel "effet retard", avertit le directeur de la caisse cantonale, Jean-Claude Frésard. Car le SECO effectuera des contrôles dans les cinq ans à venir. Les prestations RHT qui auraient été perçues indûment seront à rembourser.
Quant au traitement des demandes "RHT-Covid", il a propulsé la caisse cantonale de chômage dans un autre monde. L'an dernier, les deux spécialistes qui s'occupaient des entreprises ont examiné au total 13 dossiers pour un montant d'environ 600 mille francs. Aujourd'hui, pour les seuls mois de mars et d'avril, une quinzaine de personnes ont traité des milliers de dossiers pour 123 millions de francs.
"C'est une totale folie", commente Jean-Claude Frésard, "nous avons dû travailler le samedi, le soir, nous avons tout mis en ?uvre pour essayer de régler les entreprises le plus rapidement possible".
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