Valais
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Construction valaisanne : premiers signes concrets d'essoufflement
Un retournement conjoncturel se dessine dans le secteur valaisan de la construction.

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Un retournement conjoncturel se dessine dans le secteur valaisan de la construction. Pour la première fois depuis 2003, le total des salaires versés a diminué l'an passé.
Un tassement certes encore très léger, -0.08%, mais qui s'est confirmé plus nettement durant les quatre premiers mois 2015 : -1.58%.
Pour l'instant et globalement, cette évolution ne se traduit pas encore en termes de pertes d'emplois, d'autant que le volume de travail reste à un niveau assez élevé. C'est ce qu'a relevé ce matin le président de l'Association Valaisanne des Entrepreneurs (AVE), Alain Métrailler, en assemblée générale.
Par contre, la pression sur les prix s'accentue.
Dans ce contexte, l'AVE va changer de fusil d'épaule.
"Lorsqu'on est en pleine croissance, on se préoccupe surtout de formation", explique Alain Métrailler. "En période de difficultés, il faut revenir à la politique, au lobbying, pour retrouver un peu d'influence". Le président de l'AVE fait en particulier allusion à ce qu'il qualifie de "dérive", la mutation permanente des conditions cadres, ces dernières années, avec des "initiatives et référendum qui se succèdent à un rythme effréné".
Un tassement certes encore très léger, -0.08%, mais qui s'est confirmé plus nettement durant les quatre premiers mois 2015 : -1.58%.
Pour l'instant et globalement, cette évolution ne se traduit pas encore en termes de pertes d'emplois, d'autant que le volume de travail reste à un niveau assez élevé. C'est ce qu'a relevé ce matin le président de l'Association Valaisanne des Entrepreneurs (AVE), Alain Métrailler, en assemblée générale.
Par contre, la pression sur les prix s'accentue.
Dans ce contexte, l'AVE va changer de fusil d'épaule.
"Lorsqu'on est en pleine croissance, on se préoccupe surtout de formation", explique Alain Métrailler. "En période de difficultés, il faut revenir à la politique, au lobbying, pour retrouver un peu d'influence". Le président de l'AVE fait en particulier allusion à ce qu'il qualifie de "dérive", la mutation permanente des conditions cadres, ces dernières années, avec des "initiatives et référendum qui se succèdent à un rythme effréné".
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