A fond dans la transition énergétique mais avec du nucléaire pour l'instant, défend Dominique Barras
Il faut foncer dans la transition énergétique. Il faut développer les énergies renouvelables. Mais il faut aussi éviter de sacrifier trop vite, le nucléaire et le gaz. Pour le député sédunois Dominique Barras, le Valais a un long chemin pour atteindre ses objectifs.
Il est nouveau député depuis mars.
Comme 27 de ces homologues du Valais romand, il était lundi midi, l’invité de notre série « l’été des députés ».
Alors certes, il s’agit de son premier mandat au parlement mais à 60 ans, il n’est pas tout à fait novice dans un législatif puisqu’il a siégé au conseil général de Sion durant trois périodes.
Taillé pour certains thèmes
Ses thèmes de prédilection, le démocrate-chrétiens les a toujours maintenus. Outre "le bien-vivre ensemble dans un Valais qui valorise ses atouts", tout le chapitre de l’énergie le passionne. Il faut dire qu’il lui a consacré sa vie, de sa formation d’ingénieur EPFL en électricité à son métier d’aujourd’hui, responsable des infrastructures chez OIKEN. C’est donc peu dire que le concept de "transition énergétique" ne lui est pas étranger. Sauf qu’il y voit quelques passages obligés pour éviter le mur (ci-dessous)
Dominique Barras compte bien défendre sa vision en la matière puisqu’il siège à la commission de l’économie et de l’énergie du Grand Conseil.