Du fair-play en direction des concurrents (notamment pour la patrouille suisse qui s’est imposée) et un peu d’amertume envers les organisateurs : voilà comment on pourrait résumer la réaction de Matteo Eydallin à l’arrivée. L’Italien, membre du trio vainqueur en 2018, s’est montré très déçu de sa deuxième place en 2022. Il a tout de même adressé des félicitations sincères aux Suisses, qui étaient tout simplement «plus forts». Quand la discussion s’oriente vers les conditions particulières de cette édition, le Transalpin se montre bien plus critique. Il évoque un terrain de jeu dangereux en raison du manque de neige et avoue ne prendre aucun plaisir dans ces circonstances.