Un an après son entrée au gouvernement Oskar Freysinger se dit serein
Oskar Freysinger tire le bilan de sa première année au gouvernement.
Oskar Freysinger tire le bilan de sa première année au gouvernement.
Douze mois après son entrée en fonction, le chef du département de la sécurité et de la formation estime avoir pris de nombreuses décisions dans ses domaines de compétence.
Devant la presse, il a évoqué notamment la nouvelle loi sur l'école, adoptée par le parlement en automne dernier ou la reconnaisse des diplômes délivrés par la haute école pédagogique du Valais à l'extérieur des frontières du canton.
Les défis ne manquent pas, estime le démocrate du centre, qui évoque notamment l'installation à Sion du campus de l'école polytechnique fédérale de Lausanne.
Dans le domaine de la sécurité, Oskar Freysinger estime avoir pris des décisions pragmatiques, en mettant notamment en place un plan gitan ou en révisant différentes législations concernant les condamnés dangereux. Mais là aussi, de nombreuses questions restent en suspens, comme l'avenir de l'école de police à Savatan ou le maintien d'une présence forte de l'armée en Valais.
Sur le plan personnel, le ministre valaisan avoue volontiers que les premiers mois ont été extrêmement compliqués à gérer: angoissé et peur de ne pas surmonter l'ampleur de la tâche, mais se dit "serein" et "bien dans son job" à l'heure actuelle.