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Tamoil: plus de 600 personnes assistent au débrayage à Collombey
Plus de 600 personnes ont fait le déplacement cet après-midi pour montrer leur soutien aux employés de la raffinerie de Collombey, menacés de perdre leurs emplois.
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Plus de 600 personnes ont fait le déplacement cet après-midi pour montrer leur soutien aux employés de la raffinerie de Collombey, menacés de perdre leurs emplois.
Les ouvriers ont cessé le travail durant deux heures, afin de montrer leur détermination à la veille de l'ouverture des négociations sur un plan social.
Invitées à venir partager ce moment, la population a donc répondu en nombre. A la grande satisfaction de Blaise Carron, secrétaire syndical chez Unia qui estime que syndicats et personnel pourront "entrer en force" dans la discussion avec l'entreprise.
Plus de 230 emplois sont menacés sur le site de Collombey, 25 sur le site de Genève. Pour rappeler le sort de ces employés, quelque 250 ballons de toutes les couleurs ont été lâchés dans le ciel de Collombey. A noter que de nombreux politiques, valaisans comme vaudois, avaient fait le déplacement de Collombey cet après-midi. Tous les partis étaient représentés dans ce que les politiciens présents ont expliqué comme un geste de solidarité avec les employés.
Les ouvriers ont cessé le travail durant deux heures, afin de montrer leur détermination à la veille de l'ouverture des négociations sur un plan social.
Invitées à venir partager ce moment, la population a donc répondu en nombre. A la grande satisfaction de Blaise Carron, secrétaire syndical chez Unia qui estime que syndicats et personnel pourront "entrer en force" dans la discussion avec l'entreprise.
Plus de 230 emplois sont menacés sur le site de Collombey, 25 sur le site de Genève. Pour rappeler le sort de ces employés, quelque 250 ballons de toutes les couleurs ont été lâchés dans le ciel de Collombey. A noter que de nombreux politiques, valaisans comme vaudois, avaient fait le déplacement de Collombey cet après-midi. Tous les partis étaient représentés dans ce que les politiciens présents ont expliqué comme un geste de solidarité avec les employés.
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