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Serge Métrailler, nouveau président du PDC du Valais romand
Serge Métrailler, 36 ans, est le nouveau président du PDC du Valais romand.
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Serge Métrailler, 36 ans, est le nouveau président du PDC du Valais romand. Succédant à Michel Rothen, il a été élu ce soir par acclamations par les quelque 620 membres réunis à Conthey.
Serge Métrailler sera épaulé par deux vice-présidents : la députée Marianne Maret, ancienne présidente de Troistorrents, et le recteur du collège des Creusets, Benjamin Roduit, ancien président de Saillon.
Tous trois disposent d'un mandat de quatre ans.
Ce 20ème congrès du PDC du Valais romand s'est voulu celui de la "réorganisation" après la perte de majorité au Grand Conseil en mars 2013. Il doit donner naissance au "PDC 21".
La soirée aura aussi été marquée par l'intervention de Maurice Tornay à propos de la procédure ouverte contre l'encaveur Dominique Giroud. Par une démonstration en dix points, le conseiller d'Etat a assuré "sa famille politique" qu'il "n'y a pas d'affaire Tornay", qu'il n'y aurait pas de "Tornay gate".
"Les propos malveillants ont assez duré", a-t-il déclaré, dénonçant une "affaire instrumentalisée" avant de conclure, la gorge nouée, que justice serait faite.
La salle lui a réservé une standing ovation.
Serge Métrailler sera épaulé par deux vice-présidents : la députée Marianne Maret, ancienne présidente de Troistorrents, et le recteur du collège des Creusets, Benjamin Roduit, ancien président de Saillon.
Tous trois disposent d'un mandat de quatre ans.
Ce 20ème congrès du PDC du Valais romand s'est voulu celui de la "réorganisation" après la perte de majorité au Grand Conseil en mars 2013. Il doit donner naissance au "PDC 21".
La soirée aura aussi été marquée par l'intervention de Maurice Tornay à propos de la procédure ouverte contre l'encaveur Dominique Giroud. Par une démonstration en dix points, le conseiller d'Etat a assuré "sa famille politique" qu'il "n'y a pas d'affaire Tornay", qu'il n'y aurait pas de "Tornay gate".
"Les propos malveillants ont assez duré", a-t-il déclaré, dénonçant une "affaire instrumentalisée" avant de conclure, la gorge nouée, que justice serait faite.
La salle lui a réservé une standing ovation.
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