Valais
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Préapprentissage d'intégration pour les jeunes migrants : le point à la mi-parcours en Valais
Favoriser l'intégration par le marché du travail et réduire la dépendance à l'aide sociale : c'est l'objectif du préapprentissage d'intégration.

Préapprentissage intégration migrants
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Favoriser l'intégration par le marché du travail et réduire la dépendance à l'aide sociale : c'est l'objectif du préapprentissage d'intégration.
En Valais, comme dans la plupart des cantons suisses, cette offre est proposée depuis la rentrée scolaire 2018 aux jeunes migrants, de 16 à 35 ans. Actuellement, ils sont 45 à en bénéficier : 35 à l'école professionnelle artisanale et service communautaire de Châteauneuf et 10 à l'école professionnelle du Haut-Valais, à Viège.
Durant une année, les candidats suivent trois jours de cours qui leur permettent de se familiariser avec la langue et la culture du lieu ainsi que de développer des compétences techniques. Les deux jours restants se passent en entreprise. Idéalement, après deux semestres, les stagiaires devraient accéder à un apprentissage débouchant sur une AFP ou un CFC. Les domaines retenus sont ceux ou la main d'oeuvre fait parfois défaut : métiers de bouche, bâtiment, construction, automobile, santé et service communautaire, commerce, vente, chimie et agriculture.
A mi-parcours de la première année, une rencontre a été organisée aujourd'hui à Châteauneuf entre les partenaires du projet et les associations professionnelles pour faire le point et effectuer d'éventuels réglages.
Dès la rentrée prochaine, 55 places seront disponibles et 10 de plus à partir de 2020.
En Valais, comme dans la plupart des cantons suisses, cette offre est proposée depuis la rentrée scolaire 2018 aux jeunes migrants, de 16 à 35 ans. Actuellement, ils sont 45 à en bénéficier : 35 à l'école professionnelle artisanale et service communautaire de Châteauneuf et 10 à l'école professionnelle du Haut-Valais, à Viège.
Durant une année, les candidats suivent trois jours de cours qui leur permettent de se familiariser avec la langue et la culture du lieu ainsi que de développer des compétences techniques. Les deux jours restants se passent en entreprise. Idéalement, après deux semestres, les stagiaires devraient accéder à un apprentissage débouchant sur une AFP ou un CFC. Les domaines retenus sont ceux ou la main d'oeuvre fait parfois défaut : métiers de bouche, bâtiment, construction, automobile, santé et service communautaire, commerce, vente, chimie et agriculture.
A mi-parcours de la première année, une rencontre a été organisée aujourd'hui à Châteauneuf entre les partenaires du projet et les associations professionnelles pour faire le point et effectuer d'éventuels réglages.
Dès la rentrée prochaine, 55 places seront disponibles et 10 de plus à partir de 2020.
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