Valais
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Mauvaises nouvelles pour les places d'armes de Sion et St-Maurice
Les nuages s?
base_aerienne_sion
©
Les nuages s?amoncellent encore un peu plus sur les sites valaisans de l?armée.
La députation PDC aux chambres fédérales a rencontré dans le courant de la semaine le ministre de la défense Ueli Maurer. Et les nouvelles ne sont pas bonnes, selon le conseiller national de Martigny Christophe Darbellay.
L?aéroport de Sion fermerait purement et simplement mais une solution transitoire serait trouvée pour les apprentis polymécaniciens. Sion décrocherait le centre de logistique et de commandement de la police militaire en guise de compensation. Mais il ne s?agit que d?une centaine d?emplois peu qualifiés, selon Christophe Darbellay.
A St-Maurice, l?arsenal serait menacé. Et à terme, l?école de police de Savatan pourrait bien fermer ses portes également.
Enfin, les nouvelles ne sont guère réjouissantes non plus pour le dossier déposé par Fiesch pour accueillir le centre national de sports de neige. Car il n?aurait que peu de chances d?aboutir.
Christophe Darbellay demande donc une mobilisation de la population et des autorités valaisannes, avant la décision définitive qui devrait tomber ce printemps.
La députation PDC aux chambres fédérales a rencontré dans le courant de la semaine le ministre de la défense Ueli Maurer. Et les nouvelles ne sont pas bonnes, selon le conseiller national de Martigny Christophe Darbellay.
L?aéroport de Sion fermerait purement et simplement mais une solution transitoire serait trouvée pour les apprentis polymécaniciens. Sion décrocherait le centre de logistique et de commandement de la police militaire en guise de compensation. Mais il ne s?agit que d?une centaine d?emplois peu qualifiés, selon Christophe Darbellay.
A St-Maurice, l?arsenal serait menacé. Et à terme, l?école de police de Savatan pourrait bien fermer ses portes également.
Enfin, les nouvelles ne sont guère réjouissantes non plus pour le dossier déposé par Fiesch pour accueillir le centre national de sports de neige. Car il n?aurait que peu de chances d?aboutir.
Christophe Darbellay demande donc une mobilisation de la population et des autorités valaisannes, avant la décision définitive qui devrait tomber ce printemps.
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