Les samaritains du Valais romand le disent : leur engagement peut encore séduire du monde à tout âge
C’était leur rendez-vous de l’année : les délégués des samaritains du Valais romand se sont réunis samedi à Martigny. L’occasion de mesurer l’étendue de leur engagement mais aussi de se pencher sur les questions de relève.

C’est un incontournable pour les délégués des samaritains du Valais romand.
Répondant à l’invitation commune de la section de Vernayaz, créée il y a 80 ans, et de celle de Martigny, de dix ans sa cadette, les délégués des 21 sections de la partie francophone du canton, se sont retrouvés au Coude du Rhône pour faire le point sur leurs engagements.
Car il faut bien l’admettre, la carte de visite des samaritains est pour le moins bien fournie, relève Yvan Besse, président des samaritains du Valais romand.
La difficulté, on l’a bien compris, c’est de séduire la relève. Une difficulté que n’a pas connu Benjamin Pierroz pour le décider à s’engager. Membre du comité des samaritains de Vernayaz, et du coup, coorganisateur organisation de cette assemblée, le Planain est tombé dedans quand il était petit. A 23 ans, il en compte déjà 13 déjà chez les samaritains.
La majorité des 21 sections des samaritains du Valais romand cherche à séduire de nouveaux membres. Un programme pilote sera d’ailleurs prochainement lancé dans six cycles d’orientation pour sensibiliser les 10CO. Un programme qui pourrait être étendue aux 10CO de tout le canton en cas de succès.
Dans tous les cas, les samaritains sont prêts à accueillir de nouveaux candidats. Chaque section dispose d’une adresse de contact.
