Valais
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Le Valais devrait perdre 25'000 nuitées l'hiver prochain
25'000 nuitées.
vs_tourisme
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25'000 nuitées. La perte que pourrait subir le Valais l'hiver prochain. En cause: l'application de la convention collective nationale de travail pour l'hôtellerie-restauration à tout le monde, y compris pour le personnel de chalet proposé par les tour-opérateurs britanniques.
Des tour-opérateurs qui devraient donc bouder la Suisse et par la même occasion notre canton, puisqu'ils devront rémunérer leur personnel au tarif suisse et non plus au tarif en vigueur dans leur pays. La demande d'application de cette loi a été faite par des hôteliers de Zermatt l'an passé. L'utilisation de chalet-boys et chalet-girls rémunérés au tarif britannique, qui se faisait de manière marginale, a pris de l'ampleur ces dernières années, d'où l'intervention des hôteliers, précise Patrick Bérod.
Le directeur de l'association hôtelière du Valais avoue pourtant que le Valais est perdant, mais que dans un pays comme le nôtre l'application de la loi prime.
Une vision partagée par Damian Constantin. Et pour le directeur de Valais/Wallis promotion, mieux vaut trouver des solutions que de s'apitoyer sur son sort.
Il propose notamment de s'inspirer de ce qui se fait ailleurs, au Tyrol en particulier, et de se serrer les coudes. "Il faut se fédérer, car le client ne se pose pas la question de savoir dans quel hôtel ou quelle destination il se rend. Le client veut une expérience globale et c'est cela qu'il faut lui offrir", conclut-il.
Des tour-opérateurs qui devraient donc bouder la Suisse et par la même occasion notre canton, puisqu'ils devront rémunérer leur personnel au tarif suisse et non plus au tarif en vigueur dans leur pays. La demande d'application de cette loi a été faite par des hôteliers de Zermatt l'an passé. L'utilisation de chalet-boys et chalet-girls rémunérés au tarif britannique, qui se faisait de manière marginale, a pris de l'ampleur ces dernières années, d'où l'intervention des hôteliers, précise Patrick Bérod.
Le directeur de l'association hôtelière du Valais avoue pourtant que le Valais est perdant, mais que dans un pays comme le nôtre l'application de la loi prime.
Une vision partagée par Damian Constantin. Et pour le directeur de Valais/Wallis promotion, mieux vaut trouver des solutions que de s'apitoyer sur son sort.
Il propose notamment de s'inspirer de ce qui se fait ailleurs, au Tyrol en particulier, et de se serrer les coudes. "Il faut se fédérer, car le client ne se pose pas la question de savoir dans quel hôtel ou quelle destination il se rend. Le client veut une expérience globale et c'est cela qu'il faut lui offrir", conclut-il.
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