Valais
Votre publicité ici ? Contactez-nous !
Le conseiller d'Etat Christophe Darbellay reçu sur ses terres
Christophe Darbellay a vécu ce soir une réception officielle inédite.
![CDarbellay](/media/image/2/mini_3_2/cdarbellay-1.jpg?244639494c0bdd28e893792ac34bdd6b 320w,/media/image/2/normal_3_2/cdarbellay-1.jpg?244639494c0bdd28e893792ac34bdd6b 1080w)
CDarbellay
©
Christophe Darbellay a vécu ce soir une réception officielle inédite.
C'est par son épouse, Florence Carron Darbellay, présidente de Martigny-Combe, que le nouveau conseiller d'Etat a été accueilli dans la commune dont il est citoyen.
Du jamais vu. En tous cas en Valais.
Florence Carron Darbellay et le comité d'organisation ont souhaité placé cette soirée sous le signe de la convivialité, un événement "rassembleur et festif".
Président du gouvernement valaisan, Jacques Melly a pour sa part usé de la métaphore footballistique à quelques jours de la finale de la Coupe de Suisse. Il a ainsi salué "notre Ronaldo de la politique cantonale", attendu "comme le Messi(e) au Conseil d'Etat".
Quant au nouveau chef du département de l'économie et de la formation, il a dit son "honneur et son émotion à traverser à pied son village". Premier conseiller d'Etat de l'histoire de Martigny-Combe, Christophe Darbellay s'est également félicité de ce que, en mars, le Valais ait "choisi de ne pas revenir en arrière, de ne pas se replier sur lui-même".
C'est par son épouse, Florence Carron Darbellay, présidente de Martigny-Combe, que le nouveau conseiller d'Etat a été accueilli dans la commune dont il est citoyen.
Du jamais vu. En tous cas en Valais.
Florence Carron Darbellay et le comité d'organisation ont souhaité placé cette soirée sous le signe de la convivialité, un événement "rassembleur et festif".
Président du gouvernement valaisan, Jacques Melly a pour sa part usé de la métaphore footballistique à quelques jours de la finale de la Coupe de Suisse. Il a ainsi salué "notre Ronaldo de la politique cantonale", attendu "comme le Messi(e) au Conseil d'Etat".
Quant au nouveau chef du département de l'économie et de la formation, il a dit son "honneur et son émotion à traverser à pied son village". Premier conseiller d'Etat de l'histoire de Martigny-Combe, Christophe Darbellay s'est également félicité de ce que, en mars, le Valais ait "choisi de ne pas revenir en arrière, de ne pas se replier sur lui-même".
Votre publicité ici ? Contactez-nous !