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La surveillance aérienne du WEF se fera depuis Sion
Alors que c'était au tour de Payerne selon le tournus instauré par l'armée, c'est l'aérodrome militaire de Sion qui assurera la sécurité aérienne durant le World Economic Forum de Davos la semaine prochaine, du 22 au 26 janvier.
siontom
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Alors que c'était au tour de Payerne selon le tournus instauré par l'armée, c'est l'aérodrome militaire de Sion qui assurera la sécurité aérienne durant le World Economic Forum de Davos la semaine prochaine, du 22 au 26 janvier.
Le site vaudois est en effet indisponible en raison de travaux. 650 militaires ont donc rallié la base sédunoise depuis lundi pour encadrer les 2 escadrilles engagées, une de FA/18, l'autre de F-5 Tigers. Les vols seront soutenus ces 2 prochaines semaines.
Egalement de nuit. Ce sera le cas ce jeudi déjà, puis lundi prochain avec des vols prévus jusqu'à 22H00. Dès mardi, les jets seront amenés à sécuriser l'espace aérien tant que le besoin s'en fera sentir.
On précisera que pour l'heure aucune décision n'a été prise quant à une surveillance militaire de la conférence de paix sur la Syrie dite de Genève 2 qui devrait également débuter le 22 janvier à Montreux. Mais si tel devait être le cas, Laurent Savary, porte-parole des forces aériennes, nous a assuré qu'il n'y aurait aucune incidence sur le nombre de mouvements au départ de Sion.
Le site vaudois est en effet indisponible en raison de travaux. 650 militaires ont donc rallié la base sédunoise depuis lundi pour encadrer les 2 escadrilles engagées, une de FA/18, l'autre de F-5 Tigers. Les vols seront soutenus ces 2 prochaines semaines.
Egalement de nuit. Ce sera le cas ce jeudi déjà, puis lundi prochain avec des vols prévus jusqu'à 22H00. Dès mardi, les jets seront amenés à sécuriser l'espace aérien tant que le besoin s'en fera sentir.
On précisera que pour l'heure aucune décision n'a été prise quant à une surveillance militaire de la conférence de paix sur la Syrie dite de Genève 2 qui devrait également débuter le 22 janvier à Montreux. Mais si tel devait être le cas, Laurent Savary, porte-parole des forces aériennes, nous a assuré qu'il n'y aurait aucune incidence sur le nombre de mouvements au départ de Sion.
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