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La robotique au service de l'humain : la HES-SO sensibilise les ados
La technique est à disposition de l'humain.
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La technique est à disposition de l'humain.
C'est ce que deux filières de la HES-SO Valais ont démontré vendredi, en plusieurs étape. Première phase : leurs concours de robotique "Thymio 2 au service de l'humain" - du nom de son petit moteur d'appoint - adressé aux élèves des CO, a permis non seulement de braquer les projecteurs sur l'ingéniosité et l'imagination d'ados du cycle d'orientation mais aussi sur leur capacité à rencontrer des personnes en difficultés dans le but de leur proposer des solutions "robotiques". 40 élèves des cycles d'orientation ont consacré plusieurs mercredi pour participer, dans 18 groupes à cette expérience pratique, véritable pont entre la technique et l'humain.
"Ce n'est peut-être pas le premier lien qui vient à l'esprit pourtant il y a toute une série d'ingénieurs qui travaillent sur ces choses-là, comme le pôle sédunois entre l'EPFL et la SUVA qui travaillent à des prothèses de plus en plus adaptées aux personnes qui réagissent aux signaux du cerveau, par exemple, pour faire marcher des paraplégiques ou pour redonner la fonction d'un bras", explique Romain Roduit, professeur dans la filière "ingénierie".
"C'est au travers de ce concours que l'on mixe les deux registres. Les jeunes qui participent ont eu plusieurs contacts avec des personnes en situation de handicap ou des aînés. Ils ont aussi dû les retrouver pour tester les robots qu'ils avaient imaginés pour les soulager d'une difficulté", relève Chantal Furrer Rey, professeure en "travail social".
Les étudiants de la HES-SO également impliqués
L'expérience concerne d'ailleurs également les étudiants de la HES-SO puisque certains d'entre eux, dans les deux filières concernées, ont opéré en qualité de "coach" pour tester les méthodologies apprises dans leur formation. "C'était difficile pour ces ados puisque ils ne se représentaient pas forcément le monde du travail social tout comme nous, nous ne connaissons pas forcément le monde de la robotique", reconnaît Sarah Mallaoun, étudiante en 2ème année de travail social.
Une conférence-témoignage a ponctué cette journée sur la robotique au service de l'humain, avec la présence de l'ancien espoir de motocross, Benoît Thévenaz, devenu tétraplégique en 2005 suite à un accident. Il a notamment pu témoigner de sa propre évolution, en particulier sur sa "reconquête de la marche", grâce à un "exosquelette".
C'est ce que deux filières de la HES-SO Valais ont démontré vendredi, en plusieurs étape. Première phase : leurs concours de robotique "Thymio 2 au service de l'humain" - du nom de son petit moteur d'appoint - adressé aux élèves des CO, a permis non seulement de braquer les projecteurs sur l'ingéniosité et l'imagination d'ados du cycle d'orientation mais aussi sur leur capacité à rencontrer des personnes en difficultés dans le but de leur proposer des solutions "robotiques". 40 élèves des cycles d'orientation ont consacré plusieurs mercredi pour participer, dans 18 groupes à cette expérience pratique, véritable pont entre la technique et l'humain.
"Ce n'est peut-être pas le premier lien qui vient à l'esprit pourtant il y a toute une série d'ingénieurs qui travaillent sur ces choses-là, comme le pôle sédunois entre l'EPFL et la SUVA qui travaillent à des prothèses de plus en plus adaptées aux personnes qui réagissent aux signaux du cerveau, par exemple, pour faire marcher des paraplégiques ou pour redonner la fonction d'un bras", explique Romain Roduit, professeur dans la filière "ingénierie".
"C'est au travers de ce concours que l'on mixe les deux registres. Les jeunes qui participent ont eu plusieurs contacts avec des personnes en situation de handicap ou des aînés. Ils ont aussi dû les retrouver pour tester les robots qu'ils avaient imaginés pour les soulager d'une difficulté", relève Chantal Furrer Rey, professeure en "travail social".
Les étudiants de la HES-SO également impliqués
L'expérience concerne d'ailleurs également les étudiants de la HES-SO puisque certains d'entre eux, dans les deux filières concernées, ont opéré en qualité de "coach" pour tester les méthodologies apprises dans leur formation. "C'était difficile pour ces ados puisque ils ne se représentaient pas forcément le monde du travail social tout comme nous, nous ne connaissons pas forcément le monde de la robotique", reconnaît Sarah Mallaoun, étudiante en 2ème année de travail social.
Une conférence-témoignage a ponctué cette journée sur la robotique au service de l'humain, avec la présence de l'ancien espoir de motocross, Benoît Thévenaz, devenu tétraplégique en 2005 suite à un accident. Il a notamment pu témoigner de sa propre évolution, en particulier sur sa "reconquête de la marche", grâce à un "exosquelette".
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