Valais
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L'organisation du Valais sur la table du Parlement des jeunes
La modernisation des institutions valaisannes est aussi l'affaire des jeunes Valaisans.

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La modernisation des institutions valaisannes est aussi l'affaire des jeunes Valaisans. Une soixantaine d'entre eux débattront de la question jeudi prochain (30 janvier) dans la salle du Grand Conseil à Sion.
"Le thème est peu sexy de prime abord", admet Stéphane Veya. Mais le co-président du Parlement des jeunes du Valais (PJV), également député-suppléant au Grand Conseil, assure
qu'il intéresse fortement les jeunes une fois qu'ils y ont été sensibilisés.
R21, un enjeu majeur pour le Valais
La réforme des institutions valaisannes, baptisée R21, est l'un des grands et délicats chantiers auxquels s'est attelé le Grand Conseil. Le projet sera aussi au coeur de la session du PJV.
Ainsi, nombre d'élèves déjà mis au parfum du projet R21 par leurs professeurs participent à la session. "Les 65 jeunes de 16 à 20 ans inscrits, dont une dizaine de Haut-Valaisans, proviennent de tout le canton. Un quart d'entre eux environ viennent de Monthey où la sensibilisation semble avoir été particulièrement forte", indique Stéphane Veya.
"Comme les vrais"
La journée s'articulera en deux temps: une matinée consacrée aux explications des experts que sont Thomas Burgener, président de la commission R21, Maurice Chevrier, chef du service valaisan des affaires intérieures et communales, et Philippe Bender, historien. L'après-midi sera consacré à des ateliers et aux votes en plénum.
Les jeunes disposeront de toute l'infrastructure dont bénéficient leurs aînés durant les sessions du législatif: traduction simultanée, vote électronique, documentation, agape.
Tout cela a un coût: "un peu plus de 10'000 francs, dont 90% environ pris en charge par la Commission cantonale des jeunes", précise Stéphane Veya. Les participants disposent d'un congé spécial accordé par le Département de la formation et se voient rembourser leurs frais de transports par leur établissement scolaire.
Les prises de position du PJV seront transmises au Conseil d'Etat valaisan d'ici le 15 février, date de la fin de la consultation sur la réforme R21.
"Le thème est peu sexy de prime abord", admet Stéphane Veya. Mais le co-président du Parlement des jeunes du Valais (PJV), également député-suppléant au Grand Conseil, assure
qu'il intéresse fortement les jeunes une fois qu'ils y ont été sensibilisés.
R21, un enjeu majeur pour le Valais
La réforme des institutions valaisannes, baptisée R21, est l'un des grands et délicats chantiers auxquels s'est attelé le Grand Conseil. Le projet sera aussi au coeur de la session du PJV.
Ainsi, nombre d'élèves déjà mis au parfum du projet R21 par leurs professeurs participent à la session. "Les 65 jeunes de 16 à 20 ans inscrits, dont une dizaine de Haut-Valaisans, proviennent de tout le canton. Un quart d'entre eux environ viennent de Monthey où la sensibilisation semble avoir été particulièrement forte", indique Stéphane Veya.
"Comme les vrais"
La journée s'articulera en deux temps: une matinée consacrée aux explications des experts que sont Thomas Burgener, président de la commission R21, Maurice Chevrier, chef du service valaisan des affaires intérieures et communales, et Philippe Bender, historien. L'après-midi sera consacré à des ateliers et aux votes en plénum.
Les jeunes disposeront de toute l'infrastructure dont bénéficient leurs aînés durant les sessions du législatif: traduction simultanée, vote électronique, documentation, agape.
Tout cela a un coût: "un peu plus de 10'000 francs, dont 90% environ pris en charge par la Commission cantonale des jeunes", précise Stéphane Veya. Les participants disposent d'un congé spécial accordé par le Département de la formation et se voient rembourser leurs frais de transports par leur établissement scolaire.
Les prises de position du PJV seront transmises au Conseil d'Etat valaisan d'ici le 15 février, date de la fin de la consultation sur la réforme R21.
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