Valais
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L'Interprofession de la Vigne et du Valais du Valais adhère au principe de "réserve climatique"
Le comité de l'IVV, l'Interprofession de la Vigne et du Valais du Valais, est favorable à la constitution d'une réserve de vin.
Cuve vin
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Le comité de l'IVV, l'Interprofession de la Vigne et du Valais du Valais, est favorable à la constitution d'une réserve de vin. L'idée est née dans le canton de Vaud où elle a été baptisée "réserve climatique". Elle vise à équilibrer les mises en marché d'une année à l'autre.
"La solution serait de décaler de douze mois la décision définitive sur une partie de la limite de production", explique Yvan Aymon, président de l'IVV.
L'an dernier, par l'exemple, l'IVV a abaissé les rendements AOC à 1.08 kilo par mètre carré pour le pinot noir et le gamay, le solde, jusqu'à 1.2 kilo, étant commercialisé en vin de pays. A l'avenir, si l'ordonnance cantonale est modifiée, les 120 grammes déclassés en vin de pays pourraient être reclassés en AOC une dizaine de mois plus tard, en juin, si le besoin s'en fait sentir. Ce pourrait être le cas suite à un épisode de gel, de grêle ou de sécheresse, par exemple. En revanche, pas question d'augmenter les limites actuelles de rendement.
Pour Yvan Aymon, qui espère une adaptation cette année encore, il est urgent d'agir. Sa préférence irait à une solution nationale.
"La solution serait de décaler de douze mois la décision définitive sur une partie de la limite de production", explique Yvan Aymon, président de l'IVV.
L'an dernier, par l'exemple, l'IVV a abaissé les rendements AOC à 1.08 kilo par mètre carré pour le pinot noir et le gamay, le solde, jusqu'à 1.2 kilo, étant commercialisé en vin de pays. A l'avenir, si l'ordonnance cantonale est modifiée, les 120 grammes déclassés en vin de pays pourraient être reclassés en AOC une dizaine de mois plus tard, en juin, si le besoin s'en fait sentir. Ce pourrait être le cas suite à un épisode de gel, de grêle ou de sécheresse, par exemple. En revanche, pas question d'augmenter les limites actuelles de rendement.
Pour Yvan Aymon, qui espère une adaptation cette année encore, il est urgent d'agir. Sa préférence irait à une solution nationale.
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