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L'augmentation du tarif des parkings sédunois pas encore effective
L'augmentation annoncée du tarif des parkings sédunois n'est pas encore entrée en vigueur.
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L'augmentation annoncée du tarif des parkings sédunois n'est pas encore entrée en vigueur. Et elle n'aura peut-être pas lieu telle qu'annoncée le 1er avril dernier. Le Conseil municipal attend en effet des propositions des commerçants qui pourraient amener à des modifications, sans en changer toutefois le principal objectif: dissuader les pendulaires de se garer dans les parkings souterrains du centre-ville.
Un élément qui a peut-être échappé à la population, estime Benoît Fournier, municipal en charge de l'économie locale et du tourisme, qui parle de de "communication malheureuse" de la commune sur le sujet. Une communication qui a eu pour effet, selon lui, de grossir la décision qui a été prise. Il relève notamment que la gratuité de la première heure ou du temps de midi ainsi que les tarifs préférentiels le soir, le week-end et les jours fériés ont été passés sous silence.
Du côté des commerçants, on relève l'importance de prendre en compte tous les partenaires lors de prises de décision importante comme celle-ci. Et si une telle démarche est envisagée, elle aurait dû avoir lieu plus tôt, selon Jean-Luc Planchamp.
Autre élément qui aurait pu mettre à mal la mobilité au centre-ville de la capitale valaisanne pour le représentant des commerces sédunois auprès de plusieurs associations, le postulat qui demandait la fermeture estivale du Grand-Pont à la circulation. Un postulat qui a été rejeté par le Conseil général de la ville.
Or pour Jean-Luc Planchamp, la mobilité est primordiale dans un centre-ville comme celui de Sion, pour qu'il continue à vivre. Son argument: "La moyenne d'achat d'un client qui se déplace en voiture est quasiment deux fois supérieure à un client qui se déplace en transports publics".
Un élément qui a peut-être échappé à la population, estime Benoît Fournier, municipal en charge de l'économie locale et du tourisme, qui parle de de "communication malheureuse" de la commune sur le sujet. Une communication qui a eu pour effet, selon lui, de grossir la décision qui a été prise. Il relève notamment que la gratuité de la première heure ou du temps de midi ainsi que les tarifs préférentiels le soir, le week-end et les jours fériés ont été passés sous silence.
Du côté des commerçants, on relève l'importance de prendre en compte tous les partenaires lors de prises de décision importante comme celle-ci. Et si une telle démarche est envisagée, elle aurait dû avoir lieu plus tôt, selon Jean-Luc Planchamp.
Autre élément qui aurait pu mettre à mal la mobilité au centre-ville de la capitale valaisanne pour le représentant des commerces sédunois auprès de plusieurs associations, le postulat qui demandait la fermeture estivale du Grand-Pont à la circulation. Un postulat qui a été rejeté par le Conseil général de la ville.
Or pour Jean-Luc Planchamp, la mobilité est primordiale dans un centre-ville comme celui de Sion, pour qu'il continue à vivre. Son argument: "La moyenne d'achat d'un client qui se déplace en voiture est quasiment deux fois supérieure à un client qui se déplace en transports publics".
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