Valais
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JO 2026: le Valais, 2e résidence du président du comité de candidature
Jeux olympiques 2026 : le président du comité de candidature multiplie les apparitions en Valais.

JStahl
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Jeux olympiques 2026 : le président du comité de candidature multiplie les apparitions en Valais. Et ça n'est qu'un début.
Au lendemain de son 50e anniversaire, Jürg Stahl était à Veysonnaz, hier et aujourd'hui, à l'occasion de la coupe du monde de ski handicap. L'opportunité pour le Zürichois, par ailleurs président de Swiss Olympic, de nouer des relations et d'intensifier les contacts; il ne s'en cache pas.
Franchise également lorsqu'il évoque ses premiers pas à la tête du projet olympique. "Nous avons eu des difficultés", reconnaît-il, allusion au départ de Jean-Philippe Rochat et aux passes d'armes médiatiques avec Christian Constantin. "Mais c'est aussi une chance", ajoute Jürg Stahl, puisqu'une équipe soudée travaille désormais à la promotion de cette candidature.
Par rapport au 10 juin, date de la votation populaire, le président de Sion 2026 reconnaît qu'aujourd'hui "la tendance est négative". Il y a donc encore "beaucoup de boulot". Mais Jürg Stahl estime que rien ne sert de vouloir convaincre ceux qui de toute façon resteront opposés au projet. La priorité sera donnée aux personnes qui s'interrogent. "Et là, nous avons des réponses par rapport aux questions budgétaires", assure-t-il.
Au lendemain de son 50e anniversaire, Jürg Stahl était à Veysonnaz, hier et aujourd'hui, à l'occasion de la coupe du monde de ski handicap. L'opportunité pour le Zürichois, par ailleurs président de Swiss Olympic, de nouer des relations et d'intensifier les contacts; il ne s'en cache pas.
Franchise également lorsqu'il évoque ses premiers pas à la tête du projet olympique. "Nous avons eu des difficultés", reconnaît-il, allusion au départ de Jean-Philippe Rochat et aux passes d'armes médiatiques avec Christian Constantin. "Mais c'est aussi une chance", ajoute Jürg Stahl, puisqu'une équipe soudée travaille désormais à la promotion de cette candidature.
Par rapport au 10 juin, date de la votation populaire, le président de Sion 2026 reconnaît qu'aujourd'hui "la tendance est négative". Il y a donc encore "beaucoup de boulot". Mais Jürg Stahl estime que rien ne sert de vouloir convaincre ceux qui de toute façon resteront opposés au projet. La priorité sera donnée aux personnes qui s'interrogent. "Et là, nous avons des réponses par rapport aux questions budgétaires", assure-t-il.
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