Valais
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Inégalités salariales : les syndicats au secours des femmes
En 2016, les salaires des patrons d?
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En 2016, les salaires des patrons d?entreprises ont augmenté de 7%, ceux des employés de seulement 0,7%.
C?est profondément injuste, s?insurge l?Union syndicale suisse, qui a réclamé, mardi, à Berne, une augmentation généralisée des salaires de 1,5 à 2%.
L?économie va beaucoup mieux, juge-t-elle, et les prévisions pour 2018 sont positives. Le combat est, somme toute, courant dans les milieux syndicaux sauf qu?il s?est assorti d?un nouveau cheval de bataille puisque l?USS réclame une hausse encore plus importante pour les femmes afin de corriger les discriminations salariales. « On ne peut pas continuer comme ça? C?est de l?argent qui est volé aux femmes? », s?indigne le conseiller national saviésan Mathias Reynard, président de l?USS-Valais (interview ci-dessous).
D?où l?option choisie de militer pour des accords salariaux généraux qui profitent notamment aux femmes, a notamment rappelé, Vania Alleva, la présidente du syndicat Unia. Ce combat porté par les syndicats sur un sujet éminemment politique a été reçu cinq sur cinq en Valais, en tous les cas, par la cheffe de l?office cantonal de l?égalité et de la famille. « Je pense que ça vaut la peine d?utiliser tous les moyens que l?on a à disposition pour faire avancer cette cause », se réjouit Isabelle Darbellay Métrailler (interview ci-dessous).
En moyenne suisse, la différence salariale entre hommes et femmes représente 20%. Une partie s?explique par des différences de parcours ou des interruptions de carrière. Mais près de la moitié est à considérer comme une pure discrimination estime, comme les syndicats, Isabelle Darbellay Métrailler.
C?est profondément injuste, s?insurge l?Union syndicale suisse, qui a réclamé, mardi, à Berne, une augmentation généralisée des salaires de 1,5 à 2%.
L?économie va beaucoup mieux, juge-t-elle, et les prévisions pour 2018 sont positives. Le combat est, somme toute, courant dans les milieux syndicaux sauf qu?il s?est assorti d?un nouveau cheval de bataille puisque l?USS réclame une hausse encore plus importante pour les femmes afin de corriger les discriminations salariales. « On ne peut pas continuer comme ça? C?est de l?argent qui est volé aux femmes? », s?indigne le conseiller national saviésan Mathias Reynard, président de l?USS-Valais (interview ci-dessous).
D?où l?option choisie de militer pour des accords salariaux généraux qui profitent notamment aux femmes, a notamment rappelé, Vania Alleva, la présidente du syndicat Unia. Ce combat porté par les syndicats sur un sujet éminemment politique a été reçu cinq sur cinq en Valais, en tous les cas, par la cheffe de l?office cantonal de l?égalité et de la famille. « Je pense que ça vaut la peine d?utiliser tous les moyens que l?on a à disposition pour faire avancer cette cause », se réjouit Isabelle Darbellay Métrailler (interview ci-dessous).
En moyenne suisse, la différence salariale entre hommes et femmes représente 20%. Une partie s?explique par des différences de parcours ou des interruptions de carrière. Mais près de la moitié est à considérer comme une pure discrimination estime, comme les syndicats, Isabelle Darbellay Métrailler.
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