Valais
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"Foutage de gueule interdit de vente au marché de Sion
Le t-shirt "C'est du foutage de gueule!
foutage
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Le t-shirt "C'est du foutage de gueule!", créé en référence aux propos tenus par le président de Leytron dans l'affaire fiscale qui défraie la chronique, n'a pas sa place au marché de Sion.
Le marchand a dû renoncer à le vendre ce matin dans la vieille ville de la capitale valaisanne.
"Le marchand, qui est un marchand occasionnel de notre marché, nous a appelés la veille pour savoir s'il pouvait venir vendre des t-shirts. Nous lui avons répondu que notre règlement stipule que nous devons proposer prioritairement des produits du terroir et de l'artisanat local et que nous voulons réduire la vente de textiles", explique Blaise Schmidt.
Le président de l'Association du marché de la vieille ville de Sion (AMVV) a notamment indiqué au marchand que la polémique politique n'avait pas sa place au marché mais qu'il voulait un peu de temps pour en référer au comité de notre association, dans lequel siège notamment un juriste. Mais selon Blaise Schmidt, le marchand ne l'a pas entendu de cette oreille et a installé son stand le vendredi matin. Le responsable du marché l'a alors prié de quitter les lieux.
"De façon générale, nous refusons tous les stands politiques et ceux d'associations faisant du prosélytisme", précise Blaise Schmidt. "L'affaire du t-shirt" sera à l'ordre du jour du prochain comité de l'AMVV. "Je vais aussi en référer au juriste de la Ville. Nous déciderons ensuite si nous pouvons accepter ou non le marchand et ses t-shirts", précise Blaise Schmidt
Le président de l'Association du marché de la vieille ville de Sion (AMVV) a notamment indiqué au marchand que la polémique politique n'avait pas sa place au marché mais qu'il voulait un peu de temps pour en référer au comité de notre association, dans lequel siège notamment un juriste. Mais selon Blaise Schmidt, le marchand ne l'a pas entendu de cette oreille et a installé son stand le vendredi matin. Le responsable du marché l'a alors prié de quitter les lieux.
"De façon générale, nous refusons tous les stands politiques et ceux d'associations faisant du prosélytisme", précise Blaise Schmidt. "L'affaire du t-shirt" sera à l'ordre du jour du prochain comité de l'AMVV. "Je vais aussi en référer au juriste de la Ville. Nous déciderons ensuite si nous pouvons accepter ou non le marchand et ses t-shirts", précise Blaise Schmidt
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