Valais
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Forêt valaisanne : plaidoyer en faveur des interventions humaines
Même si elles sont parfois impopulaires et incomprises, les coupes de bois dans les forêts sont indispensables.
bucheron
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Même si elles sont parfois impopulaires et incomprises, les coupes de bois dans les forêts sont indispensables.
C'est l'un des messages que veut faire passer le service cantonal des forêts et du paysage à travers une publication qui sort tout juste de presse : le "Guide de la forêt valaisanne".
Car en Valais aussi, désormais, une majorité de la population voit d'abord dans la forêt un espace de détente. Il arrive donc que les interventions des bûcherons soient mal perçues.
"La société évolue dans tous les domaines et la forêt n'y échappe pas", commente à ce propos Olivier Guex, chef du service.
Tiré à 6000 exemplaires, dont 2000 en allemand, ce guide rappelle ainsi le rôle prioritaire que jouent 87% des forêts valaisannes dans la protection des personnes et des biens contre les dangers naturels. Il insiste, par conséquent, sur la nécessité d'éviter leur décrépitude. Cela passe par des abattages "pour obtenir un rajeunissement permanent et une densité d'arbres suffisante".
La forêt occupe 24% du territoire valaisan, soit 125 mille hectares.
L'entretien d'un hectare protecteur sur cent ans est d'environ 80 mille francs.
C'est l'un des messages que veut faire passer le service cantonal des forêts et du paysage à travers une publication qui sort tout juste de presse : le "Guide de la forêt valaisanne".
Car en Valais aussi, désormais, une majorité de la population voit d'abord dans la forêt un espace de détente. Il arrive donc que les interventions des bûcherons soient mal perçues.
"La société évolue dans tous les domaines et la forêt n'y échappe pas", commente à ce propos Olivier Guex, chef du service.
Tiré à 6000 exemplaires, dont 2000 en allemand, ce guide rappelle ainsi le rôle prioritaire que jouent 87% des forêts valaisannes dans la protection des personnes et des biens contre les dangers naturels. Il insiste, par conséquent, sur la nécessité d'éviter leur décrépitude. Cela passe par des abattages "pour obtenir un rajeunissement permanent et une densité d'arbres suffisante".
La forêt occupe 24% du territoire valaisan, soit 125 mille hectares.
L'entretien d'un hectare protecteur sur cent ans est d'environ 80 mille francs.
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