Valais
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Après une éclipse de 16 ans, bilan globalement positif pour le retour des recrues en Valais
Les écoles de recrues touchent à leur terme.
Caserne Sion
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Les écoles de recrues touchent à leur terme. Vendredi, les soldats rentreront chez eux après 18 semaines en gris-vert.
Et à Sion, l'heure est déjà au bilan. Il faut dire que pour la première fois depuis seize ans, deux écoles de recrues s'y sont à nouveau déroulées.
Au printemps, 450 hommes et une centaine de cadres ont suivi une formation de police militaire. Idem cet été où la limite de capacité a été atteinte voire dépassée avec 780 personnes. A la caserne de Sion, des salles de théorie ont dû être converties en chambres. Les Merisiers, au sud de l'aéroport, et Chamoson ont également chacun accueilli une compagnie, au printemps comme en été.
Commandant de l'école, le colonel EMG Robert Zuber se dit très satisfait du déroulement des opérations et, notamment, de la qualité de la collaboration avec les autorités civiles. Seule ombre au tableau, les nuisances sonores engendrées par les exercices de tir à Pra Bardy.
"Nous avons procédé à des adaptations en essayant de ne pas tirer trop tôt", explique Robert Zuber pour qui un certain bruit est inévitable lorsqu'il s'agit de se familiariser avec le maniement des armes.
La prochaine école de recrues débutera le 14 janvier sous la conduite d'un nouveau commandant.
Et à Sion, l'heure est déjà au bilan. Il faut dire que pour la première fois depuis seize ans, deux écoles de recrues s'y sont à nouveau déroulées.
Au printemps, 450 hommes et une centaine de cadres ont suivi une formation de police militaire. Idem cet été où la limite de capacité a été atteinte voire dépassée avec 780 personnes. A la caserne de Sion, des salles de théorie ont dû être converties en chambres. Les Merisiers, au sud de l'aéroport, et Chamoson ont également chacun accueilli une compagnie, au printemps comme en été.
Commandant de l'école, le colonel EMG Robert Zuber se dit très satisfait du déroulement des opérations et, notamment, de la qualité de la collaboration avec les autorités civiles. Seule ombre au tableau, les nuisances sonores engendrées par les exercices de tir à Pra Bardy.
"Nous avons procédé à des adaptations en essayant de ne pas tirer trop tôt", explique Robert Zuber pour qui un certain bruit est inévitable lorsqu'il s'agit de se familiariser avec le maniement des armes.
La prochaine école de recrues débutera le 14 janvier sous la conduite d'un nouveau commandant.
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