Valais
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Apprentissage: plus de 1'400 places n'ont pas encore trouvé preneur
887, c'est le nombre de places d'apprentissage encore libres dans le Valais romand à la fin 2013.

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887, c'est le nombre de places d'apprentissage encore libres dans le Valais romand à la fin 2013. Un chiffre dans la moyenne des années précédentes. Si les secteurs de la vente et des services offrent davantage de perspectives avec un quart de places supplémentaires, celui de la construction marque légèrement le pas avec moins dix unités. Un fléchissement qui peut être imputé aux incertitudes liées à la Lex Weber. Un élément à vérifier lors de la prochaine rentrée, estime Claude Pottier, chef du Service cantonal de la formation professionnelle.
Pas de différences notables en revanche entre le haut et le bas du canton, même si la filière de l'apprentissage est moins populaire dans le Haut-Valais où les quelque 530 places annuellement libres peinent à trouver preneur. Une question de mentalité, estime Claude Pottier. Qui insiste sur le travail d'information et de conviction auprès des parents afin que coïncident au mieux l'offre et la demande.
Au rang des métiers boudés par les jeunes malgré d'intéressants débouchés: les professions techniques en raison d'exigences élevées, l'artisanat et le second ?uvre passablement dévalorisés. Des idées reçues que s'attelle à combattre le Service de la formation professionnelle via les journées des métiers organisées au CO ou le Salon des métiers "Your challenge" bisannuel.
A noter que chaque année 800 à 1'000 jeunes, qui ne trouvent pas directement de places d'apprentissage, intègrent des filières dites "de transition" sous l'égide du Semestre de motivation ou encore de la Fondation Action Jeunesse.
Pas de différences notables en revanche entre le haut et le bas du canton, même si la filière de l'apprentissage est moins populaire dans le Haut-Valais où les quelque 530 places annuellement libres peinent à trouver preneur. Une question de mentalité, estime Claude Pottier. Qui insiste sur le travail d'information et de conviction auprès des parents afin que coïncident au mieux l'offre et la demande.
Au rang des métiers boudés par les jeunes malgré d'intéressants débouchés: les professions techniques en raison d'exigences élevées, l'artisanat et le second ?uvre passablement dévalorisés. Des idées reçues que s'attelle à combattre le Service de la formation professionnelle via les journées des métiers organisées au CO ou le Salon des métiers "Your challenge" bisannuel.
A noter que chaque année 800 à 1'000 jeunes, qui ne trouvent pas directement de places d'apprentissage, intègrent des filières dites "de transition" sous l'égide du Semestre de motivation ou encore de la Fondation Action Jeunesse.
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