L'histoire du téléphérique d’Isérables
Tous les mercredis avec Jo, Katia Clavien allie la géographie et l’histoire Valaisanne pour nous faire découvrir ou redécouvrir des lieux emblématiques de notre beau canton à travers ses anecdotes !

Aujourd’hui nous prenons de la hauteur pour emprunter le téléphérique d’Isérables !
Et ces quelques mots d’histoire… la première voiture acquise par un habitant d’Isérables a été montée au village, fixée par des câbles, sous une cabine du téléphérique. Le photographe Oswald Ruppen a immortalisé cet étonnant chargement sur un de ses clichés datant de 1960. Ce téléphérique est tout un symbole à ce village accroché à la montagne. A 1100 mètres d’altitude, presque à la verticale au-dessus de Riddes, cette mécanique appartient à plus de 800 habitants. Dans ce village d’Isérables, on entend de nombreuses histoires, tant il est particulier et riche en passé.
Dès la fin du 19e siècle, les ardoises d’Isérables sont réputées pour leur qualité, mais leur transport jusqu’en plaine sur ces chemins s’avère très compliqué. C’est pourquoi les exploitants des carrières d’ardoise mettent au point tout à tour, deux télébennes destinées à transporter le matériel jusqu’en bas. Ces mêmes télébennes serviront également à descendre l’anthracite issu des sous-sols durant la Première Guerre mondiale.
Si vous souhaitez découvrir toutes les anecdotes de Katia Clavien sur le sujet, écoutez-donc sa chronique jusqu’au bout !
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