C’est de faire la demande à une somme de personnes de contribuer à un projet de manière financière. Cette contribution peut se faire dans une durée limitée ou pas en lien à un projet spécifique qui peut être un lancement d’une entreprise, d’un produite, d’une initiative ou même social par le biais de dons.
D'autres financement participatifs visent à aider les collectivités, à mettre des projets urbain en place ou autre mais il en résulte un comblage d'un manque de la collectivité qui selon Stéphane Koch devient un système populiste. La somme des personnes ayant de l'argent décident, alors que les citoyens qui n'ont pas d'argent rarement au courant par ailleurs sont laissé de côté sans aucune étape décisionnaire.
Pour soutenir une idéologie, un projet spécifique, une cause, souvent il y a un manque de transparence, parfois sur les personnes qui financent, parfois sur les personnes qui reçoivent les fonds. En exemple le "convoie de la Liberté" au Canada à Ottawa dont 40% des fonds venaient de l'étranger, en l'occurence des Etats-Unis. résultat? Des fonds étrangers ont participé à une ingérence dans une ville Canadienne et donc une interférence démocratiques des citoyens Canadiens.