Cette expression est très connue dans nos contrées Valaisannes, pour ne pas voir la gueule de bois le lendemain. Donc si jamais on mélange, toujours le blanc avant, puis le rouge ensuite. Et pourtant…
Durant un repas gastronomique, le protocole est d’y aller crescendo : à l’apéro, ne jamais prendre des vins capiteux les plus forts en alcool au départ pour finir par des blancs, puisque l’ivresse n’en est pas le but. Dans la presse cette semaine, l’ancienne œnologue cantonale du Valais Corine Clavien relevait que les vins liquoreux sont dégustés dans la plupart des cas avec un foie gras en entrée qui peut nous couper l’appétit, soit avec un dessert, un mélange devenant vite écœurant. Alors, pourquoi ne pas innover selon elle ? Pourquoi ne pas les boire frais à l’apéro de la même manière que l’on déguste un martini blanc ?
Merci Xavier ! Et santé !